Golshifteh Farahani : « Elles meurent parce que femmes »

 » Depuis la mort de Mahsa Amani, les journées sont difficiles, les nuits sont difficiles, on ne mange pas, on ne dort pas. « On », c’est moi et tous mes amis, artistes iraniens en exil, suspendus à l’avenir de ce pays que j’ai quitté il y a 1…
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Author: La Rédaction