La loi « Solo si es si », entrée en vigueur le mois dernier en Espagne, a gravé dans le droit la nécessité d’un consentement exprimé explicitement, et a imposé la notion d’agression sexuelle sur celle d’abus, afin de renforcer la législation contre le viol. Mais cette disposition censée rehausser la protection des droits des femmes entraîne un effet secondaire bien imprévu de ses rédacteurs: la réduction des peines de certains agresseurs condamnés.
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