Lors de la Journée nationale de mobilisation contre le harcèlement scolaire le jeudi 9 novembre, la Première ministre a suscité une vague de critiques sur les réseaux sociaux après avoir plaisanté peu de temps après le témoignage émouvant d’un jeune élève victime de harcèlement. On lui reproche notamment un manque d’empathie et une forme d’hypocrisie alors qu’elle appelait justement à ne pas « minimiser la parole des enfants ».
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