La décision d’autoriser l’aide humanitaire à entrer dans la bande de Gaza par le terminal de Kerem Shalom vise à décongestionner celui de Rafah, à la frontière avec l’Egypte. C’est actuellement l’unique point d’entrée des camions de vivres et médicaments dans l’étroite bande de terre, et à un rythme très inférieur à avant le début de la guerre. « Nous n’avons pas de nourriture, pas d’eau, pas d’abris. Tous les services font défaut à Gaza », se désespère un habitant du camp de Jabaliya (nord) interrogé par l’AFP, qui ne donne pas son nom.
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