A cause d’un délais de carence d’en moyenne 3 jours, les femmes ayant recours à l’interruption volontaire de grossesse perdent de l’argent. La législation pourrait évoluer vers une prise en charge comme c’est le cas pour les fausses couches comme l’indique l’avocate Louise Boulet.
Astrée Olivier et Essia Lakhoua
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