Sur la fin de vie, le chef de l’État a dessiné dimanche 10 mars les contours d’une troisième voie: celle d’une future « aide à mourir ». Sur les termes, l’exécutif se défend de toute précaution censée dépassionner le débat. Dans la majorité, on explique: si on veut créer un « modèle français », on peut utiliser « les mots qu’on veut ».
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