Atos : une « solution nationale »

« Lorsqu’on est actionnaire d’Atos aujourd’hui, il n’y a pas grand chose à faire, vous êtes rincés. Vous avez un groupe qui vaut un peu moins de 200 millions d’euros, c’est-à-dire qu’il vaut zéro. » François Chaulet, président de Montségur France

Author: La Rédaction