Un policier accusé de violences familiales a été relaxé par le parquet général de Metz pour « droit à la correction ». Trois recours auprès de la Cour de cassation ont été déposés par les deux avocats de la femme et des enfants du policier, mais également par le parquet général. Des professionnels du droit évoquent une décision « jurisprudentielle et sans fondement légal ».
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