Tout se passe dans le CSU, le Centre de Supervision Urbain (c’est la tour de contrôle de la police municipale avec toutes les caméras pour surveiller la voie publique) et dans une rue de Marseille. Un policier raconte que des policiers municipaux violentent des gens régulièrement, que les agents au CSU voient tout sur les caméras et dissimulent les faits pour ne pas avoir à rendre des comptes. Il dit que les policiers font régulièrement des karaokés dans le CSU, qu’ils ne surveillent absolument pas les caméras et que « c’est du grand n’importe quoi ». Toutes ces accusations s’appuient sur des enregistrements vidéos et audios.
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