« Ils auraient peut-être dû le faire en tranches horaires »: une chauffeuse de taxi francilienne déplore la limitation à 50 km/h du périphérique

Anissa Dinic, chauffeuse de taxi francilienne, estime que la mairie de Paris aurait pu instaurer une limitation de 50 km/h sur le périphérique seulement en journée, en laissant les 70 km/h autorisés la nuit. « Ils auraient peut-être dû le faire en tranches horaires », dit-elle, anticipant une répercussion financière sur son activité causée par cette réduction de la limitation de vitesse

Author: La Rédaction