Carlos Tavares a annoncé sa démission de son poste de directeur général de Stellantis un an avant la fin de son mandat, après une chute des résultats du groupe, notamment en Amérique du Nord. Cette décision résulte de divergences stratégiques avec la famille Agnelli, actionnaire principal du groupe, et de tensions internes liées à sa politique de rentabilité agressive. Son départ est aussi perçu comme l’échec d’un management jugé brutal, marqué par des tensions avec les cadres, concessionnaires, et syndicats.
Les syndicats français, bien que soulagés par la fin de ce management, espèrent que le successeur de Tavares, pressenti parmi les dirigeants internes comme Maxime Picat ou Antonio Filosa, continuera à soutenir les usines françaises, notamment celles impliquées dans l’électrification du parc automobile.
Les syndicats français, bien que soulagés par la fin de ce management, espèrent que le successeur de Tavares, pressenti parmi les dirigeants internes comme Maxime Picat ou Antonio Filosa, continuera à soutenir les usines françaises, notamment celles impliquées dans l’électrification du parc automobile.
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