Elle raconte avoir été « l’esclave sexuelle » de Raël : « J’étais à sa merci à toute heure du jour et de la nuit »

Un regard presque craintif, mais une volonté ferme d’échapper à un destin trop longtemps placé sous le signe de l’emprise. Bientôt dix-huit ans après avoir fui le mouvement sectaire raëlien, Lydia Hadjara est encore marquée au fer rouge, portant enco…
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Author: La Rédaction