Les conséquences de la guerre en Ukraine se font de plus en plus ressentir sur le secteur de l’énergie. Elles ne cessent d’alimenter la flambée des prix du gaz et du pétrole. Rejetée fermement par le gouvernement allemand, l’idée d’un embargo européen sur le pétrole et le gaz russe s’éloigne. Peut-on imaginer une baisse des prix des carburants ? Ou allons-nous vers un choc pétrolier comparable à celui de 1973 ? Nous sommes revenus sur la question avec : Gaëtane Meslin, cheffe du service économie et social de BFMTV, Michel-Edouard Leclerc, président-directeur général du groupe E. Leclerc, Julien Teddé, directeur Opéra Energie et spécialiste en gaz.
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