Cancer causé par un papillomavirus : « Heureusement, je ne suis pas mort. Elle s’en serait voulu jusqu’à la fin de ses jours … »

Un tatouage pour graver dans sa peau l’impossible oubli. Le dessin représente une formule chimique complexe, celle de la cisplatine. Derrière la suite de molécules, le souvenir obsédant de la mort qui le guettait à chaque séance de chimiothérapie. Co…
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Author: La Rédaction