Les banques françaises (BNP, Crédit Agricole) jouent la prudence et se désengagent progressivement de Russie:
Un mauvais élève, la Société Générale, beaucoup plus exposée que ses concurrentes. Dans le pire scénario, un retrait pourrait lui coûter 1,8 milliard d’euros
Un mauvais élève, la Société Générale, beaucoup plus exposée que ses concurrentes. Dans le pire scénario, un retrait pourrait lui coûter 1,8 milliard d’euros
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