Souhaité par Bruno Retailleau, l’article 8ter du texte, examiné à partir de lundi 17 mars dans l’hémicycle, veut offrir une « porte dérobée » aux services de renseignements et d’enquête sur les messageries chiffrées (WhatsApp, Signal, Telegram…). L’objectif? Obtenir le contenu d’échanges des délinquants.
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