Mort de Nahel, un an après, sa mère se confie

Quatre mots s’étalent en lettres dorées, tracées à la bombe de peinture, sur les murs fatigués de la cage d’escalier :  » On t’oublie pas « . À l’étage, dans l’appartement, la chambre du fils est restée telle quelle : la couette bleu et blanc sur le li…
Lire la suite de l’article sur Elle.fr
Author: La Rédaction