Le tribunal a estimé que l’État devait réparation à la famille pour les « souffrances physiques et morales endurées par Yvan Colonna » en raison de manquements fautifs de l’administration pénitentiaire ». Le militant indépendantiste, incarcéré pour l’assassinat du préfet Érignac, a été tué par un codétenu.
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