« On a sacrifié l’individu au profit de la collectivité » : après les émeutes, la sévérité des condamnations en justice pose question

Depuis le début des violences urbaines consécutives à la mort de Nahel, plus de 3 600 personnes ont été placées en garde à vue, donnant lieu à de très nombreuses comparutions immédiates. Beaucoup de peines de prison ferme ont été prononcées, y compris pour des prévenus au casier judiciaire vierge.
Author: La Rédaction