Dans les bars et boîtes de nuit d’Île-de-France, des dizaines de femmes témoignent après avoir été victimes d’agression sexuelle, parfois droguées au GHB. Une situation dénoncée par les associations féministes et que la mairie de Paris est bien décidée à faire cesser. Depuis la réouverture des boîtes de nuit le 16 février dernier, la ville propose une formation aux professionnels du monde de la nuit pour apprendre à réagir et à accompagner les victimes.
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