À Moscou, c’est le premier jour des trois jours de scrutin présidentiel en Russie, depuis le début de l’invasion russe. En Ukraine, il n’y a aucun suspense, car aucun opposant réel n’a été autorisé à se présenter. Aucun membre de l’opposition n’apparaît sur les bulletins de vote. L’indépendant Boris Nadejdine a été évincé début février par la commission électorale centrale, tout comme l’ancienne élue municipale pacifiste Ekaterina Dountsova, fin décembre. Cependant, il y a eu des incidents qui ont été signalés un peu partout. On en parle avec : Vincent Desportes, professeur de stratégie à Sciences Po et HEC, ancien directeur de l’Ecole de Guerre. Nadejda Kutepova, réfugiée politique russe et juriste en droit nucléaire et droits de l’Homme. Andréa Kotarac, président du groupe RN au conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes. Matthias Tavel, député LFI de Loire-Atlantique. Et Thierry Arnaud, éditorialiste politique internationale BFMTV.
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