L’étude a paru mardi dans la revue scientifique The Lancet. Des chercheurs britanniques y exposent le cas d’un patient atteint de la variole du singe ayant vu ses symptômes s’abréger après avoir été traité au moyen de l’antiviral Tecovirimat. Mais la faiblesse du panel examiné incite à la plus grande prudence et à la poursuite des recherches, selon les auteurs de l’article scientifique eux-mêmes.
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