Alors que Julien Bayou a démissionné lundi de ses fonctions de secrétaire national d’EELV, à la suite d’accusations de violences psychologiques à l’égard d’une ex-compagne, le quotidien Libération révèle qu’un groupe de féministes enquêtait sur lui depuis 2019.
Sur le plateau de BFMT, la communicante Émilie Zapalski s’est interrogée sur la vitesse du traitement des violences faites aux femmes par la justice, et a proposé la mise en place « d’outils qui aillent plus vite que la justice, qui protègent les femmes ».
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